06/10/2014 l’excursion à Pontoise
Nous sommes allés à Pontoise avec le bus 45. D’abord, j’ai voulu acheter un billet dans le bus 38, qui a arrêté devant l’appartement, directement à Pontoise, mais il n’ait pas été possible. Le conducteur de bus vend seulement le billet pour son bus (Pour ce voyage, le billet a coûté 1,50 euro). Du coup nous ont dû acheter une deuxième fois dans le numéro 45. Le parcours entre Cergy et Pontoise a coûté 2 euros par personne et le trajet a duré 10 minutes. La ligne qui termine ici, s’est arrêté au-dessus de la gare de SNCF. Là-bas il y a une gare routière pour quelque bus, mais une autre gare routière est devant la façade de la gare.
Sur un pont, on peut atteindre la façade de la gare avec laquelle j’ai acheté des magazines. La vendeuse m’a souri et osé à parler avec moi. Les femmes dans l’Île-de-France aiment flirter. Ça m’a plu très bien. En Allemagne les font rarement.
Nous sommes allés une rue directement à la cathédrale qui se trouve dans une colline. Pour mon père, c’était un chalenge à cause sa maladie. Il est monté lentement. Pas de problème car j’en me suis adapté. Malheureusement la porte principale a fermé parc qu’il y avait un cours de musique dans l’intérieur et le musicien ont voulu faire des exercices en plein repos.
De notre étonnement, les magasins ont été fermés. C’est normal en France. Les magasins à midi ne font pas cette chose. Du coup j’ai acheté des timbres dans le bureau de poste près du centre-ville pour deux cartes postales à Belgique et Allemagne. Au cours de notre visité à Pontoise, nous avons regardé l’église Notre-Dame de Pontoise. C’est une petite église et n’est pas comparable avec la grande cathédrale à Paris.
Devant l’église il y avait une brasserie où nous avons mangé. J’ai pris une salade parisienne et mon père un steak haché. Le garçon a raconté qui a vécu quelque ans en Allemagne, à Bergisch-Gladbach près de Cologne. Il a été très sympathique et il a pu bien parler en général. Le cabinet se compose des latrines que je n’a jamais faites de la pratique.
Depuis nous sommes allés au bord de la rivière Oise. À cause du vent fort et le temps instable, nous avons quitté la ville avec le prochain bus à l’arrêt Cergy Préfecture.
Après un achat de l’hypermarché, nous sommes revenus à l’appartement si bien que j’ai écrit une lettre mon amie française. Je voudrais lui visiter à Besançon, mais je ne sais pas si elle veut me voir. Je voudrais bien lui visiter pour quelque jours. J’ai déjà pris en congé au début de décembre. C’est encore une amitié amicale.